Slim d'Hermès C'est la fête

Communiqué de presse

Slim d'Hermès C'est la fête

Nimbée d’or blanc, la nouvelle Slim d’Hermès met en scène les arts subtils de l’émail miniature paillonné et de la gravure, dans un univers fantasque et espiègle.

Faite de rigueur et d’équilibre, la montre Slim d’Hermès créée par Philippe Delhotal en 2015, possède une élégance discrète qui se prête à l’expression des savoir- faire Hermès. Réalisée dans des tonalités bleues et mordorées, la nouvelle Slim d’Hermès C’est la fête prend vie sous le geste exercé des artisans émailleur et graveur. En réinterprétant avec humour le thème du carré C’est la fête, l’art exigeant de la miniature se révèle dans toute sa virtuosité.
 

Le motif du cadran – un facétieux cavalier squelette en queue de pie et haut de forme, chevauchant sa monture avec vigueur – est repris du carré masculin dessiné par Daiske Nomura en 2012. Le dessinateur-illustrateur japonais, qui aime détourner les emblèmes de la maison Hermès en les associant à la culture des dessins animés, des mangas ou des jeux vidéo, en propose une vision fantasque ou futuriste, toujours inattendue. Avec la Slim d’Hermès C’est la fête, cette interprétation moderne et rock’n’roll des vanités entre dans une nouvelle dimension : une composition en émail paillonné et gravure, où chaque détail recèle dextérité, émotion et singularité.
 

Le cadran Slim d’Hermès C’est la fête associe plusieurs techniques minutieuses, dont l’émail paillonné qui consiste à insérer des paillons d’or ou d’argent entre les couches d’émail, pour créer des jeux de lumière, de transparence et de relief. L’artisan procède à cette opération délicate de concert avec la réalisation d’un ouvrage non moins méticuleux : l’émail miniature. Il trace les contours du motif sur une surface en or blanc émaillée et polie à la main, puis dépose au pinceau très fin différentes poudres de verre coloré, mélangées à des huiles naturelles. Celles-ci sont appliquées en plusieurs couches, successivement séchées et cuites au four afin d’en fixer les pigments et les paillons. Les squelettes du cavalier et de son destrier naissent quant à eux sous les burins et ciselets du graveur, qui façonne patiemment dans l’or les reliefs et profondeurs de ces personnages.
 

L’ensemble vient se loger dans un élégant boîtier rond en or blanc, abritant le mouvement extra- plat de manufacture Hermès H1950 à remontage automatique, orné du semis de H. Réalisé au sein des ateliers Hermès Horloger, un bracelet en alligator mat bleu abysse vient souligner les nuances de cette montre exclusive, limitée à huit exemplaires.

(Images © Hermès)